L'Ecole des Chats
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Vous voilà dans une école pas comme les autres, c'est une école de chat où il est conseillé de jouer pendant les cours et où l'on apprend la magie ... Basé sur le livre l'École des chats de Kim Jin-kyeong.
 
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 Nous ou l'histoire d'un rêve.

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Cerise

Cerise


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MessageSujet: Nous ou l'histoire d'un rêve.   Nous ou l'histoire d'un rêve. Icon_minitimeMer 3 Aoû - 22:47


Nous ou l’histoire d’un rêve.Nous ou l'histoire d'un rêve. 1312450833082009700


-Je serais actrice !

Cette voix résonne dans ma tête comme l’écho de mes pas dans le couloir d’hôpital, où je cour. J’ai semé ma classe depuis longtemps. Je cherche désespérément la chambre 201. Pourquoi, je suis là à courir dans les couloirs d’un hôpital ? Pour le savoir, il faut remonter le temps ; le jour où ma vie à basculer.

2 semaines plus tôt.Nous ou l'histoire d'un rêve. 1312450934020668700

Je m’appelle Sakurada Sâto, je suis en 1er année de Lycée dans la grande école d’Excalibure. Cette école va de la maternelle à la fac avec une section garçon et une section fille. Ma classe est la classe Taiyo qui compte 20 élèves et moi, je suis l’une de ses élève banal avec des note un peu au- dessue de la moyenne.

-Aujourd’hui, nous accueillons Aois Tanashi qui arrive d’Amérique. Annonça le professeur principal avant de se tourné ver la porte tout sourire. Tu peux rentrer Tanashi.

Nous entendions un petit “oui “ puis une jolie jeune fille apparut au seille de la porte, avança jusqu’au tableau et nous salua.

-Je suis ravie de faire votre connaissance, j’espère bien m’entendre avec vous.

Et en un instant des tonnes de phrases brisaient le silence ; des phrases débiles comme : “elle est mignonne “, “trop chou “, “Je suis sûre qu’elle est super gentille“, “Trop belle, je suis jalouse“,…C’est vrais qu’elle est mignonne avec ses long blond qui commençais raide puis finissait par de petites ondulations et de grand yeux si bleu qu’on se noyait dedans. Elle ressemblait à une jolie poupée à la peau claire. Mais bon, sinon elle ça restait une nouvelle classique. Le court reprit et la nouvelle était assise derrière moi. A la pause midi, les professeurs me demandaient de lui faire visiter l’école. Cela me faisait partie de mes responsabilités de délégué. Donc je retourne en classe pour venir me cherché mais les filles ont déjà accaparé la nouvelle et la bombardait de questions.

-Tu viens d’où en Amérique ? demanda la première.

-De New-York. Répondit Tanashi un peu étonnée.

-Tu parle drôlement bien japonais ! S’étonna la deuxième en s’approchant du visage de la jeune fille.

-Euh…oui, je suis d’origine japonaise. Dit-elle en se renfonçant dans sa chaise gênée.

-Tu faisais quoi là-bas ? Questionna la troisième fille.

-J’aimais bien me balader dans central parc. Continuai à répondre la nouvelle vraiment très mal à l’aise.

-Trop cool ! Paillaient les filles dans un bel ensemble.

-Hé, poussez-vous ! J’ordonnais d’un ton sec en les écartant.

-Ah, c’est vous délégué Sâto ?! S’étonna la jeune fille, un sourire se dessinait sur son visage.

-Oui, tu es Tanashi, c’est bien ça ? Répondais-je sur un ton froid.

-C’est ça, mais appelle-moi Aois. Confirma-t-elle avec son grand sourire toujours fleurissant malgré mon ton froid.

-Alors tu peux m’appeller Sakurada. Continuais-je toujours aussi froide tout en pensant.*Je ne sais pas pourquoi mais il y a quelque chose qui me gêne chez cette fille.*

-Tu voulais me voir ? m’interrogea Aois me sortant ainsi de ma réflexion.

-Hein…Oui, je dois te faire visiter le bahut. Bégayais-je compétemment à autre part. Bon, Tu viens ?!

-Oui, j’arrive ! S’exclama-t-elle en prenant congé de nos camarades.

Donc nous visitions notre le lycée puis rapidement le reste de l’école, elle s’emblait étonné du tous qu’elle voyait. Ensuite on finit notre journée comme une journée classique. Arrivé au portail d’entré de l’école, je vis Aois et sa direction m’intrigua.

-*Etrange par là il n’y a que l‘hôpital. Pourquoi va-t-elle par là? *M’interrogeais-je que tout à coup une voix me qui me demandait “c’est qui ? “ me fit sursauté.

Je me retournai encore sous le choc de la surprise et vu mon jeune frère, Hiroki. Lui aussi est à Excabure au collège dans la section garçon, d’après les filles de ma classe il est beau mais effrayant. Il a l’habitude d’apparaitre comme un démon sortit de sa boite.

-Hiroki, tu m’as fait peur ! Je t’ai déjà répété cent fois de ne pas arrivé “comme ça“ ! grondais-je légèrement contrarier par la peur qu’il m’avait fait.

-Pardon grande sœur, même-ci je ne vois pas se que tu veux dire par “comme ça“.S’excusa-t-il avant d’insister. Alors cette fille ?

-Aois Tanashi, elle vient d’arrivé, et va savoir pourquoi mais cette fille m’agace et elle ne m’a pourtant rien fait. Ah, ça m’agace !rageais-je toute seul.

-Elle t’intrige… répond simplement Hiroki.

-Quoi ? Demandais-je car je n’avais pas écouté trop occuper à pester.

-Rien ! Aller, on rentre. Lança mon frère en partant sans répondre à ma question.

-Hé attend-moi ! Hiroki !hurlais-je en me lançant à sa suite.

Le lendemain tout resta telle qu’il avait toujours été sauf qu’on avait une élève de plus. À la pose midi, je la vois sortir de la salle de classe où la plus part resté pour manger.

_*Elle doit surement manger avec quelqu’un d’autre dans une autre classe.* Pensais-je vaguement avant qu’un petit détail me frappe, elle n’avait pas de panier de repas.



-Regardez se que j’ai trouvé dans le casier d’Aois ! s’écria une fille de la classe me faisant sursauté. Elle brandissait un cahier vert avec pleins feuilles qui dépassait, elle l’ouvrit et commença à le lire avant de dire. On dirait un scénario de film ou une pièce de théatre.

- Montres ! Brailla une seconde en courant ver la première.

-Tiens ! lui répondit la première en lui tendant le cahier mais elle l’agitait tellement que quelque feuilles tombaient.

L’une d’elle vola jusqu'à mes pieds, je la ramassai et j’allais la rendre quand je vis le sceau de l’hôpital. Discrètement, je la glissais dans ma veste d’uniforme. Aois rentra en court à la fin de la pause comme toute celle qui avait quitté la classe. J’avais beau l’examiné sous tout les coutures, elle n’avait pas l’air malade mais pourtant ce papier était bien une ordonnance alors pourquoi. Tellement plongé dans mes réflexions que je n’entendis pas la sonnerie. Ce fut une voix aigue et joyeuse qui me réveilla.

-Dit Saku, j’ai une faveur à te demander. Dit la voix aigue, celle d’Aois évidemment.

-Vas-y, dit. Répondais-je sans animosité pour une fois.

-Tu peux m’accompagner au parc, s’il te plait ? demanda-t-elle les yeux brillant.

-D’accord, je viens. S’aidais-je gentiment mais c’était surtout que cette feuille m’intriguais toujours et j’avais peut être une chance d’en savoir plus.

-Merci ! s’écria-t-elle en sautant de joie.

Non, elle n’avait vraiment pas l’air malade tout au contraire. Ensemble nous allions donc au parc qui était en face du campus. Aois sautillait à côté de moi, elle m’entraina sous un grand arbre assez loin dans le parc. Elle sortait de son cartable le fameux cahier vert avec un “tadam“ de fierté.

-Où veux-tu en venir ? L’interrogeais-je quelque peu surprise.

-J’aimerais que tu m’aide à réviser mon texte ! répondit Aois tout sourire en me tendant le cahier ouvert.

La page remplit d’écriture de toutes les couleurs. Je commençais à lire, cette pièce était difficile aussi bien à joué qu’à retenir.

-Bon , je fais quoi ?Lui demandais-je perdu.

-Tu me donnes la réplique. S’étonna la jeune fille blonde.

Je restais là deux heures avec Aois à lui donné la réplique et la voir joué, elle brillait. En un instant elle passait du rire aux larmes, de la joie à la haine. Nous nous quittions après cette fixé rendez-vous, le lendemain à la même heure mais sur le toit du lycée cette fois. Comme promis, je la retrouvais sur le toit le lendemain. Et finalement, nous primes l’habitude de nous rejoindre tout les jours sur le toit. C’est lundi que tout à vraiment changé, j’avais entrainé Hiroki sur le toit où m’entendait Aois sourire aux lèvres. Là-haut sur le toit, ils nous suffisaient de tendre les bras pour toucher le ciel et de joué la comédie pour volé. C’est d’ailleurs se qu’on fit sous l’œil attentif de mon petit frère. Après notre moment à nous, je rentrais avec Hiroki, il me demanda si j’avais mon portable. Je glissais donc ma main dans la poche de ma veste d’où j’en sortais mon portable et la feuille venant de l’hôpital. Je l’avais complètement oublié, c’est à cause d’elle que je me suis rapproché d’Aois. Je passais ma soirée comme toutes les autres soirées sauf qu’une fois dans ma chambre mon regard ne pouvait pas se détacher papier plié en quatre posé sur mon bureau. Je me décidais enfin, j’attrapais la feuille sur mon bureau, la dépliais et commençais à lire avec soin. Glacé d’effrois, je lâchais la feuille et des larmes cristal se mirent à couler sur mes joues. Aois était atteinte d’une maladie qui avait de grande chance de la tuer. Mes larmes se transformèrent en un torrent salé de tristesse. Mais pourquoi je pleurais, Aois n’était pas mon amie juste une fille que ma curiosité à voulut apprendre alors pourquoi était-je aussi mal ? Je m’endormis cette pensé en tête, mes larmes toujours présente. Pendant toute la journée à l’évité car je ne pouvais pas la regardé dans les yeux pas après se que j’avais apprit sur elle hier. J’hésitais même à aller à notre rendez-vous sur le toit mais j’y allais quand même pour savoir. Savoir pourquoi elle s’entrainait autans au risque de se tuer ?! Quand Aois me vu, elle se mit à courir ver moi, son ravissant sourire sur son visage pales et ses cheveux blond volant au vent. Je la stoppais froidement et posa ma question qui frappa telle un glaive. Pendant la journée, j’avais trouvé ma réponse à ma question d’hier, Aois était devenu malgré moi mon amie et je tenais à elle.

-Pourquoi tu t’entraines autant. Hein, Aois, pourquoi ?! Répond-moi !

-C’est simple. Me répondit-elle de sa voix douce, son sourire fleurissant de nouveau et ses yeux bleus posé sur moi. Plus tard, je veux travailler dans le monde de la comédie. Je serais actrice !

-Mais tu es malade ! Protestais-je de toutes mes forces, mes larmes coulaient.

-Et alors ? Me demanda Aois le visage sombre.

-*Et alors ?! Comment ose-t-elle posé la question*Bouillais –je sur place.

-Là mort ne m’effraie pas. Souriais Aois ses yeux bleu brillant de la rage de vaincre.

-JE TE HAIS ! Explosais-je en la giflant avant de me retourné et partir en courant, les yeux embrumé de larme.

-Pas moi, je ne pourrais jamais te détesté. Saku, tu es mon amie. Se contenta de dire Aois d’une voix simple.

Je claquais la porte en guise de réponse et courut jusqu'à chez moi où j’explosais en sanglot avant de m’endormir à mon chevet Hiroki veillait sur moi. Mecredi et Jeudi, Aois ne venu pas en cours. Vendredi, elle n’était toujours pas là et personne n’avait de nouvelles. La classe commençais à s’inquiété.

-Je me demande se qu’elle a ? demanda une fille.

-Oui, moi aussi ça m’inquiète. Répondit une autre tristement.

-Vous allez arrêter de pailler pour rien ?! Demandais-je agacé et en colère.

-Sâto, qu’est-ce-que tu es froide ! s’exclama une personne qu’on entendait rarement car elle se fichait pas mal de la classe, Himori la vice- déléguer. Vous étiez plutôt proche, non ?

-Tu racontes vraiment n’importe quoi ! M’exaspérais-je sachant combien elle avait raison.

Je sortis de la classe d’un pas pressé et montais sur le toit sans raison. Je me collais dans un toit en mode œuf, fermai les yeux et me souvint. Le soleil déclinait quand une voix me fit sursauter.

-je savais bien que je te trouverais là.

-Aois,… commençais-je en relevant la tête, les yeux rouge.

-Non, désolé grande sœur, ce n’est que moi ! Chuchota Hiroki en s’approchant de moi. Je peux m’assoir ?

-Oui, vas-y. dis-je, je sentie son corps chaud se glissé à côté de moi et je lui demandai. Hiroki, tu me trouve froide.

-Pour te dire la vérité, oui. Répondit-il avant de reprendre, glissant sa main dans la mienne. Cette froideur est un barrage que tu veux mettre entre toi et les autres mais si quelqu’un trouve une faille tu te sens agressé et le rejette.

-Tu as raison, Hiroki. Affirmais-je en laissant tombé quelque larme sur nos main lié, je sentis qu’il me la serrait plus fort pour me consoler.

-Aller, rentrons. Finit-il par dire en me relevant. Un sourire tendre illuminait son visage blanc avec ses cheveux noir jais.

Ce n’est que le lendemain qu’on sut où était Aois et la nouvelle n’était pas bonne.

-Tu peux répéter ?! Hurlais-je en me levant violement.

-Aois est à l’hôpital. Répéta Himori calmement avec une pointe de peur.

-Non, ce n’est pas vrais ! Continuais-je à hurler en me dirigeant ver la porte en hâte.

-Où vas-tu ? demanda une fille de la classe.

-A l’hôpital. Répondais-je sans me retourné.

-A temps ! On vient aussi ! Criait Himori avec l’affirmation derrière des autres.

J’entendis les chaises grincé et en un instant toute la classe se dirigeait vers l’hôpital. Là-bas, on apprit qu’Aois était chambre 201.Et voilà comment je me suis retrouvé ici. Je prends à gauche et au fond du couloir, je vois une porte avec le numéro 201.Je pousse la porte qui grince et rentre sans bruit. Je vois Aois assise dans le lit, les yeux bandé, elle “regard “ ver la porte.

-Aois, tu es en vie. Soufflais-je soulagé.

-Sakurada , c’est toi ? demanda la jeune fille blonde en me cherchant.

-Oui. Lui confirmais-je en lui saisissant les mains.

-Je suis désolée. Commença-t-elle à sangloter. J’aurais dû t’écouter .Maintenant après avoir faillit mourir, je suis aveugle et mon rêve s’est envoler avec ma vu.

-Mais toi, tu es toujours là et ton rêve aussi même si tu es aveugle.la contredis-je en la prenant dans me bras avant d’ajouté. Mes yeux à moi voient parfaitement alors n’oublie pas ton rêve car t’es yeux les voila, c’est moi.

Des larmes perlèrent sur mon visage se mélangeant à celle d’Aois.

-Non pas Sakurada juste Saku. Corrigeais-je en la serrant plus fort.

-Hé, on peut entrer ! Criaient des voix derrière la porte.

-Oui, entrez ! Lançais-je en essuyant mes larmes et celle de mon amie.

-Alors la malade, tu nous as fichu une belle peur ! Rigola une fille en rentrant.

-Ne nous fait plus jamais ça ! fit semblant de réprimandé une autre.

-Pour la peine, tu seras de corvée pendant 3 jours .Plaisanta une troisième.

-Oui !merci ! Répondit la blondinette toujours en pleure.

La classe entière se mit à pleuré mais toute ces larmes était des larmes de joie. C’est comme ça que se finit le printemps de mes quinze ans. Et tous ses souvenirs sont gravés en moi.

Quelque année plus tard (maintenant)Nous ou l'histoire d'un rêve. 1312450998072409300

-Hé, Saku tu fais quoi ? demande la voix enjoué d’Aois.

-Je me souviens. Répondis –je en me retournant.

-De quoi ? m’interroge-t-elle toujours des sa belle voix mélodique.

-De nos 15 ans. Dis-je en l’attrapant par la taille.

-Ah oui, qu’elle belle année ! Celle de notre rencontre! Se souvient à son tour Aois.

-Oui. Je continue à rêver. Dit, tu finis à ta scène ?

-Oui, j’ai faim, on va manger. Propose la jeune fille. Et je reprends la seconde scène dans 3 heures.

-C’est chouette, je voulais t’emmener quelque part avant d’aller manger. Je sourire en l’attrapant par la main.

-Où ? Me questionne-t-elle excité comme une puce.

-Au bahut. Je réponds fière ma petite surprise.

-C’est vrais ! hurla-t-elle ravie se prenant le pied dans le fils.

Je la rattrapai de justesse, et oui Aois était toujours aveugle mais elle était devenue actrice après bien d’obstacle ; Aois aux yeux de cristal était le nom qu’on lui avait donné. Arrivé au bahut, je vis deux lycéenne faisait du théâtre se qui me fit sourire et fit sourire Aois qui entendait les répliques.

-Même si tu es aveugle, tu peux la voir, hein, notre belle école.

-Oui. Confirma Aois.

Si Aois peut voir l’école c’est grâce aux yeux du cœur sont qu’on oublie trop vite mais qui resurgissent si un de tes sens se perd dans le néant.

Fin



voila j'espère que vous avez aimer même si ça parle pas de chat.
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